Bienvenue à Cendras


La commune de Cendras, qui pourrait n'être qu'une commune dortoir aux portes d'Alès, a su conserver une vie de village riche de la diversité de ses activités associatives, culturelles et sportives. Riche aussi des ses activités économiques (commerces, marché de plein air, artisanat, tourisme, agriculture) et de ses services administratifs (poste), culturels (médiathèque, écomusée, école de musique), sociaux (centre social) et médicaux (médecin, dentiste, pharmacies, kinés, ostéopathe, infirmières, maison de retraite). La proximité d'Alès permet d'accéder facilement à tout ce que l'on peut trouver dans une ville moyenne.





Le centre socio-culturel Lucie Aubrac évalue les besoins des habitants de la vallée à travers une étude de marché menée par les étudiants de BTS du lycée Prévert. Pour information, les étudiants administreront le questionnaire auprès des habitants de Cendras, jeudi 14 mars.

Télécharger
QUESTIONNAIRE PARTICULIERS figé.pdf
Document Adobe Acrobat 618.9 KB

Compte-tenu des prévisions météo de ce samedi 9 mars, le carnaval de Cendras est reporté au samedi 6 avril



Télécharger
Programme Février-mars 2024 (2).pdf
Document Adobe Acrobat 2.1 MB





Le bulletin municipal de janvier 2024 est paru !

Télécharger
Divers-cité Cendras janvier 2024.pdf
Document Adobe Acrobat 15.7 MB









Télécharger
lire délivre 2023.pdf
Document Adobe Acrobat 2.0 MB







Arrêté sécheresse du 5 octobre

Courant septembre un épisode pluviométrique a permis à certains cours d'eau du Gard de voir leur débit remonter. Seul l'Ouest du département en a bénéficié. Sur le reste du département la situation hydraulique, des cours d'eau et des nappes souterraines, ne s'est pas améliorée.

Les prévisions météorologiques pour les jours à venir indiquent des températures élevées pour la saison et une absence de pluies significatives.

Après consultation des membres du comité de la ressource en eau, fin septembre, monsieur le Préfet du Gard a décidé de rétrograder d'un cran le niveau d'alerte sur les zones de l'Hérault, de l'Arre, de la Cèze amont, des Gardons amont et de la Dourbie et de maintenir le niveau de restriction sur les autres zones d'alerte.

 

Ainsi la situation est la suivante :  

Zones en situation crise :

  • Cèze aval,
  • Vidourle,
  • Gardon aval

Zones en situation d’alerte renforcée :

  • Ardéche
  • Gardons amont
  • Cèze amont
  • Hérault
  • Arre

Zone en situation d’alerte :

  • Vistre-Vistrenque-Costières

Zones en situation de vigilance : Le reste du département.


Bal paysan avec HK : informations sur le stationnement le samedi 30 septembre

Le stationnement sera interdit du vendredi 29 septembre à 17h au dimanche 1er octobre à 1h sur : 
- la place Salvador-Allende
- le parking du marché
- le parking devant l'entrée 9, rue Vincent Faïta
- le parking devant le groupe scolaire Joliot-Curie
Trois parkings sont mis à disposition du public (voir plan en photo) :
- P1 rue Stanislas Malinowski
- P2 et P3 avenue Jean Moulin

Arrêté sécheresse du 14 septembre 2023

L’absence de pluies significatives a un effet durable sur les niveaux des cours d’eau et des nappes : lors du comité de la ressource en eau, réuni ce mercredi 13 septembre, les acteurs ont mis en évidence une situation très préoccupante sur la plupart des bassins gardois : les cours d’eau secondaires sont majoritairement à sec, les cours d’eau principaux connaissent des débits extrêmement faibles et certaines nappes d’accompagnement de la Cèze, des Gardons et du Vidourle atteignent des niveaux jamais connus. Les records, datant parfois de plus de 20 ans, sont dépassés sur plusieurs stations et plusieurs piézomètres.

En conséquence, même si les besoins de prélèvements sont moindres pour l’irrigation agricole et pour l’activité touristique, les niveaux sont suffisamment préoccupants pour justifier de relever certains niveaux de restriction d’usage. C’est la raison pour laquelle monsieur le préfet a décidé de placer la Cèze amont ainsi que les Gardons amont et aval en crise, et de monter d’un cran la zone d’alerte Costières et Vistrenque, désormais en alerte.
Ce sont désormais 7 sous-bassins sur 11 qui sont au niveau le plus haut des restrictions, une situation exceptionnelle pour un milieu de mois de septembre. L’espoir d’une amélioration repose sur des précipitations significatives et étendues, dont la prévision reste encore incertaine à court terme.

La situation est la suivante :
Zones en situation de crise
- Arre, Hérault, Vidourle, Cèze amont et aval, Gardons amont et aval
Zones en situation d’alerte renforcée
- Ardèche
Zone en situation d’alerte
- Dourbie, Costières-Vistrenque
Zones en situation de vigilance
- Rhône et Camargue gardoise

Arrêté sécheresse du 7 septembre 2023

L’épisode de chaleur prolongée et l’absence de précipitations ont un impact sur les niveaux des cours d’eau et des nappes : ainsi, malgré des besoins en prélèvement en baisse, car les besoins agricoles sont beaucoup plus faibles qu’au printemps et au début de l’été et que le pic d’activité touristique est passé, la tension sur certains cours d’eau reste très élevée. Le comité de la ressource en eau continue donc de se réunir régulièrement et une concertation écrite a été lancée pour recueillir l’avis des membres sur une proposition d’évolution des restrictions sur la Dourbie et le Gardon aval.

A l’issue de cette concertation, monsieur le préfet a décidé d’augmenter d’un cran le niveau d’alerte du Gardon aval, et de le placer en alerte renforcée, au même niveau de restriction que la Cèze amont, le Gardon amont et l’Ardèche. Le sous-bassin de la Dourbie est placé en alerte, par cohérence avec les décisions des préfets du bassin Tarn amont. Enfin, il est rappelé que la Cèze aval, le Vidourle, l’Arre et l’Hérault sont maintenus en crise.

Les niveaux des nappes du Gardon et de la Cèze sont très préoccupants et atteignent même des niveaux records, tandis que le nombre d’assecs des cours d’eau secondaires augmente sur ces deux bassins. Sans nouvelles précipitations, les niveaux pourraient justifier un passage en crise : un prochain comité de la ressource en eau est donc convoqué la semaine prochaine pour faire le point de la situation.

La situation est la suivante :
Zones en situation de crise
- Arre, Hérault, Vidourle et Cèze aval
Zones en situation d’alerte renforcée
- Cèze amont, Gardons amont et Gardon aval, Ardèche
Zone en situation d’alerte
- Dourbie
Zones en situation de vigilance
- reste du département en situation de vigilance

Le bulletin de septembre est paru !






ARRÊTÉ SÉCHERESSE DU 16 AOÛT

La situation du début d'été, liée à un mois de juin excédentaire en matière de précipitations, s'est dégradées ces dernières semaines puisque le mois de juillet ainsi que le mois d'août  présentent sur le Gard des déficits cumulés de précipitations .

Les prévisions météorologiques pour les jours à venir indiquent des températures très élevées et une absence de pluies significatives.

Madame la préfète du Gard a décidé d’augmenter d'un cran le niveau d'alerte de la Cèze amont et des Gardons amont. Ainsi la Cèze amont et les Gardons amont passent en alerte renforcée.

Ainsi la situation est la suivante :  

Zones en situation crise :

  • Cèze aval,
  • Vidourle,
  • Hérault
  • Arre

Zones en situation d’alerte renforcée :

  • Ardéche
  • Gardons amont
  • Cèze amont

Zone en situation d’alerte :

  • Gardon aval

Zones en situation de vigilance : Le reste du département.







Télécharger
Festiv'été 2023.pdf
Document Adobe Acrobat 2.9 MB

Télécharger
MAGBiosphere_juin2023.pdf
Document Adobe Acrobat 45.5 MB

Télécharger
LIRE DELIVRE2022-4PAGES.pdf
Document Adobe Acrobat 5.2 MB
Télécharger
CENDRAS_PROG LIRE DELIVRE 2018_4.pdf
Document Adobe Acrobat 600.4 KB
Télécharger
Programme des festivités de l'été
bulletin juin festivites 2018 .pdf
Document Adobe Acrobat 1.9 MB
Télécharger
programme violon dingue 2018.pdf
Document Adobe Acrobat 1.0 MB

« Contractions»

 

SAMEDI 17 MARS, 20H30 à la médiathèque

Lecture-spectacle de Mike Bartlett proposée par la Cie Anyone Else But You.

« A travers des situations cocasses, parfois franchement comiques, Mike Bartlett montre comment les nouveaux modes de management présentant l’entreprise comme une grande famille, aliènent peu à peu leurs employés. On va rire. D’effroi devant l’horreur et l’absurdité de la situation. Mais on va rire !! »

Avec Sophie Affholder et Muriel Cocquet (actrices)

 

Bruno Buffoli (mise en scène)

Télécharger
CENDRAS_PROG LIRE DELIVRE 2017_BDef.pdf
Document Adobe Acrobat 4.2 MB
Télécharger
SMHVC_PROG AUTOMNE A4_BD.pdf
Document Adobe Acrobat 1.2 MB
Télécharger
Le bulletin municipal d’août est paru !
bulletin aout 2017.pdf
Document Adobe Acrobat 11.9 MB
Télécharger
Festivité été 2017
Festivités été 2017 1.pdf
Document Adobe Acrobat 1.4 MB
Télécharger
Programme Violon Dingue 2017 du 8 au 10 juin
Prog Violon Dingue 2017_BDEF_.pdf
Document Adobe Acrobat 945.1 KB

Le bulletin de mai 2017 est paru

Le bulletin de mars 2017 est paru

Le bulletin de janvier 2017 est paru


Le bulletin municipal de mai 2015 est paru

Le bulletin municipal de mai 2015 est paru (télécharger ici), en voici l'édito du maire:


"Faire peur (avec le terrorisme), diviser (avec les immigrés), contraindre (avec le chômage et la précarité), tromper (avec l’arnaque de la dette par exemple), désarmer (avec la baisse du budget culturel ou l’information à sens unique des grands médias), éloigner (le pouvoir du citoyen avec la réforme des institutions en cours), dans les hautes sphères du pouvoir économique et politique on a mis en place un impressionnant arsenal d’actions pour lever toute velléité au peuple d’exiger l’arrêt de cette politique désastreuse, au seul service des affairistes et des nantis.

Pourtant, à y regarder de plus près, de quoi peut-on se rendre compte? Que cette politique, menée par notre pays et par bien d’autres, au seul service de la finance, qui, au niveau mondial aussi a des effets dévastateurs (voir les milliers de réfugiés politiques, économiques, climatiques, qui fuient leur pays semaine après semaine et finissent souvent noyés dans la Méditerranée).

Que ce sont souvent ces mêmes pays, dont le nôtre, qui arment les dictatures qui financent le terrorisme (une des rares réussites de notre Président, triste réussite, n’est-elle pas d’avoir réussi à vendre des avions militaires Rafale aux dictatures du Golfe?).

Que le chômage (3,5 millions de chômeurs et 5 millions de demandeurs d’emploi en France, un record) est voulu, organisé, avec des délocalisations permises par la mondialisation ultralibérale, ceci pour faire pression sur les salaires et les conditions de travail.

Que la dette, française comme grecque, au nom de laquelle on nous impose l’austérité et la casse des services publics, n’est pour une bonne part que le résultat des énormes cadeaux fiscaux faits aux plus riches (qui sont autant de moyens en moins pour rembourser) et des intérêts prohibitifs versés aux créanciers (les grandes fortunes et les banques), qu’elle est donc en partie illégitime, voire illégale et même odieuse et qu’elle peut donc être en partie annulée sans problème.

Face à cela, la réforme territoriale en cours qui, avec la création des grandes métropoles et la volonté de liquider départements et communes, a pour but d’éloigner le plus possible les citoyens de leur lieu de pouvoir, cette réforme vise à désarmer les citoyens et à laisser le champ libre à la finance. La commune, lieu de proximité, de rencontre, de rapports humains, de solidarité, est la cellule de base de la démocratie. C’est à cette échelle que le citoyen peut le mieux échanger, débattre, s’organiser, s’impliquer, et du coup surmonter la peur, refuser la division, dépasser la contrainte, déjouer le mensonge et la désinformation et ainsi exiger d’autres choix.

On le voit, la défense de la commune n’est pas une histoire de boutique mais un enjeu de la plus haute importance, la défense de la démocratie, rien de moins!"

 

Yannick Louche

Le bulletin municipal de janvier est paru

Le bulletin municipal est disponible en version papier à la mairie et en version numérique sur ce site. Téléchargez ici.

En voici l'édito du maire:

 

L’année 2015 a commencé de façon dramatique. En effet les attentats contre la rédaction de Charlie hebdo et contre un magasin casher qui ont fait 17 morts, ont traumatisé le pays tout entier.

Cette terrible violence exercée notamment contre des journalistes symbolisant la liberté de conscience et d’expression, par des individus se réclamant abusivement d’une religion qu’ils salissent profondément, a créé une onde de choc dans le pays tout entier ; lequel a réagi de superbe façon, des millions de femmes et d’hommes défilant le dimanche 11 janvier, dans une grande dignité, pour rendre hommage aux victimes et réaffirmer avec force les principes fondamentaux de notre République tels la liberté de conscience, la liberté d’expression, la liberté de la presse, la laïcité, la fraternité.

Bien sûr, après la colère et l’émotion, il convient de prendre les mesures pour assurer la sécurité de nos concitoyens sans sombrer dans le tout sécuritaire ni porter atteinte aux libertés. Mais il convient surtout d’analyser les raisons qui amènent à de telles situations, de se poser toutes les questions sans rien éluder et, à partir de là, de prendre ses responsabilités, les politiques comme les religieux, les décideurs économiques comme les enseignants, les intellectuels comme les associatifs, les citoyens dans leur ensemble.

Au forum de Davos qui réunit les décideurs et les plus riches de la planète, on vient de révéler que 50% de la richesse mondiale sont détenus par 1% de la population ; que les 80 personnes les plus riches du monde possèdent autant que les 3,5 milliards les plus pauvres. Tant de richesses accumulées et stérilisées d’un côté, tant de misère, de chômage, de détresse, d’exclusion, de frustration et de manque d’espoir de l’autre. Ce n’est plus supportable. Une telle violence sociale ne peut qu’engendrer d’autres violences.

Il y a un siècle exactement un autre journaliste, Jean Jaurès, était assassiné parce qu’il voulait éviter la guerre, dénonçant l’engrenage sans fin de la violence et de la guerre.

Travaillons le vivre-ensemble nous dit-on. Certes, mais une politique qui aggrave les injustices, le chômage, l’austérité, la baisse de la dépense publique, la liquidation des services publics de proximité, l’éloignement des lieux de décision et les coups portés à la démocratie de proximité avec la réforme territoriale en cours, tout cela favorise-t-il le vivre-ensemble ?

Voilà entre autres des questions sur lesquelles l’ensemble des citoyens a sans doute le devoir de réfléchir et de s’exprimer pour espérer construire ensemble un monde ou l’intelligence, la solidarité et la fraternité règleront les rapports humains, plutôt que les armes (dont au passage notre pays est un des plus grands fabricants et pourvoyeurs !)

Dans un tel contexte, c’est ce que, au nom du conseil municipal, je souhaite à l’orée de l’année 2015.

Yannick LOUCHE

 

Cérémonie des vœux 2015

La cérémonie des vœux de la municipalité a eu lieu vendredi.

Lire le compte-rendu dans la presse: 

Télécharger
LMA 0111.pdf
Document Adobe Acrobat 199.8 KB








Le bulletin municipal de décembre 2014 est sorti,

téléchargez ici,

En voici un extrait: l'éditorial du maire:

 

Deux mois et demi de pluie, parfois violente, ça met le moral en berne et ça occasionne des dégâts matériels ; dégâts chez les particuliers qui, après une attente difficile, ont enfin vu arriver la déclaration d’état de catastrophe naturelle ; dégâts sur la voirie communale chiffrés à hauteur de 200 000 euros, sur les pistes DFCI chiffrés à 80 000 euros, dégâts pour lesquels nous sommes assurés de seulement 22% d’aide (10% du département, 12% de la région et rien pour le moment de l’Etat). Dans ces conditions, les réparations vont sans doute prendre du temps.

On dit que ces phénomènes d’épisodes cévenols sont s’accélérer avec le dérèglement climatique ; cela nous conforte dans nos choix via l’Agenda 21 : transition énergétique (économie d’énergie, énergie renouvelable), circuits courts, relocalisation des activités économiques…

Or, dans ce besoin évident de relocalisation, de changement de paradigme économique et sociétal (le progrès dans la sobriété pour faire court), les choix de l’Etat ou des grands services et des grandes entreprises de liquider tout ce qui ne leur parait pas assez rentable financièrement à court terme (on le voit concrètement chez nous aujourd’hui avec la Poste, la pharmacie des mines, Internet dans nos campagnes…) sont de mauvais choix que nous combattons, tout comme la réforme territoriale en cours qui est faite pour concentrer les populations et les moyens dans les métropoles au détriment d’un aménagement harmonieux et durable du territoire et au détriment de l’exercice de la démocratie de proximité ; avec la volonté de réduire les dépenses publiques au seul profit des dividendes des actionnaires.

Ne perdons jamais de vue que la réalité socio économique de notre planète c’est que les 80 personnes les plus riches au monde possèdent autant que les 3 milliards de personnes les plus pauvres. Il y a donc du grain à moudre pour une société plus juste, plus solidaire et plus respectueuse de l’environnement !

Pour changer cela, il faut connaître, il faut réfléchir, il faut comprendre, il faut débattre. Les rencontres Lire délivre participent à cela, et l’édition 2014, comme le montre le dossier de ce journal, fut un grand cru. C’est réconfortant.

 

 

 


NOS SERVICES DE PROXIMITÉ EN DANGER

 

 

SAUVONS NOTRE POSTE

ET NOTRE PHARMACIE DES MINES !!!

 

Suivant toujours la logique de profit accru par la réduction du service public et du personnel, les directions de la Poste et de la CARMI ont décidé respectivement de fermer partiellement et à partir du 8 décembre notre bureau de poste de Cendras et définitivement dès le 1er janvier la pharmacie des mines.

En effet, nous venons de recevoir, de la part du directeur local du réseau la Poste, Mr Jean Noël DURIS, les nouveaux horaires qui prévoient la fermeture de notre bureau de poste le lundi, mardi et mercredi après midi ainsi que le samedi matin. Cette annonce inacceptable laisse envisager une fermeture définitive à terme.

De plus, le directeur de la CARMI, Mr ROGNIE, vient d’annoncer également la suppression de la pharmacie des Mines à partir du 1er janvier 2015.

C’est un véritable coup dur pour les Cendrasiens qui fréquentent quotidiennement ces services de proximité. Ces derniers répondent à des besoins essentiels de la population et maintiennent un lien social indispensable pour notre commune.

Encore une fois, cette logique économique qui n’a aucun sens se fait au détriment du plus grand nombre.

Nous nous opposons fermement à ces décisions ainsi, nous vous invitons, citoyens, usagers, mineurs, personnels à une mobilisation pour sauver nos services de proximité et à venir signer les pétitions :  

 

 

RASSEMBLEMENT

SAMEDI 6 DECEMBRE A 10H30

SUR LE PARKING DE LA POSTE DE CENDRAS

(Entre la poste et la pharmacie des mines)

 

La municipalité de Cendras

Conférence de Raymond Huard vendredi soir
Conférence de Raymond Huard vendredi soir
Soirée texte image et musique sur les arts en 14-18.
Soirée texte image et musique sur les arts en 14-18.
Passionnante conférence de Charles Silvestre sur Jaurès, samedi après-midi.
Passionnante conférence de Charles Silvestre sur Jaurès, samedi après-midi.
Histoire d'un rat de guerre... samedi soir.
Histoire d'un rat de guerre... samedi soir.
Beaucoup d'émotion pour le spectacle de chanson et lecture de lettres de poilus, dimanche en fin de matinée.
Beaucoup d'émotion pour le spectacle de chanson et lecture de lettres de poilus, dimanche en fin de matinée.
la foule fut nombreuse durant tout le week-end et notamment pour écouter Patrick Cabanel dimanche après-midi.
la foule fut nombreuse durant tout le week-end et notamment pour écouter Patrick Cabanel dimanche après-midi.
Des rencontres qui se sont terminées par un passionnant débat sur l'avenir des Cévennes.
Des rencontres qui se sont terminées par un passionnant débat sur l'avenir des Cévennes.

Réforme territoriale

Le maire et les élus en conférence de presse à Alès le 7 octobre 2014
Le maire et les élus en conférence de presse à Alès le 7 octobre 2014

Ci-dessous le texte de la conférence de presse donnée le 7 octobre 2014 par le maire Yannick Louche et les conseillers municipaux de Cendras, à propos de la réforme territoriale

 

 

Madame, Monsieur,

 

Samedi 20 septembre la commune de Cendras, comme d’autres communes du secteur alésien, a subi d’importants dégâts en raison d’un épisode cévenol particulièrement violent. Force est de constater que la réactivité et l’engagement des services municipaux et départementaux, donc des services publics de proximité, ont permis le jour même d’aider les habitants les plus impactés (dégagement, nettoyage, rééquipement, relogement….) et de rétablir l’essentiel des circulations et des réseaux.

Ces services publics de proximité sont portés par deux collectivités, la commune et le département ; or, ce sont ces deux collectivités, commune et département, que la future réforme territoriale prévoit de faire disparaître !

N’y a-t-il pas là matière à réflexion ?

L’actualité permet de se questionner à partir d’une situation concrète sur le fond de la question, mais revenons d’abord au cadre et à la façon dont les choses s’engagent sur cette très importante question qu’est la réforme territoriale.

Cette réforme est, on le sait, engagée depuis quelques temps. Une première partie, concernant les métropoles, est d’ores et déjà votée. La suite, concernant le « bloc local », les départements et les régions est aujourd’hui en débat au parlement pour être votée dans quelques mois, est-il dit.

On pourrait alors s’attendre, pour une réforme aussi cruciale, à ce que les élus s’évertuent à débattre, et à informer et faire débattre la population sur le sens et le contenu de cette réforme.

Or ce qui est essentiellement porté par la plupart des « grands élus » et répercuté par la majorité des medias, ce n’est pas le sens, le contenu, la portée de ce projet de réforme, mais le fait qu’elle est inéluctable comme proposée et du coup ces mêmes « grands » élus sont déjà à l’étape de son application, par anticipation, en faisant fi de l’avis des « petits élus » et des populations et en travaillant aux futurs périmètres en fonction des ambitions et des carrières politiques des uns et des autres, semble-t-il.

Et ce petit jeu semble avoir atteint même le Pays Grand’Combien ces derniers jours !

En effet, c’est la presse locale qui nous a avertis le 02 septembre que Mr Bouix, élu d’opposition de droite à La Grand’Combe et au Pays Grand Combien, plaidait pour le rattachement du Pays Grand’Combien à l’agglo d’Alès.

La réponse du Maire de la Grand’Combe et Président du Pays Grand’Combien, Patrick Malavieille, arrivait dans la même presse le 04 septembre, expliquant qu’après avoir discuté avec les maires (lesquels ? pas avec celui de Cendras en tous cas !) il répondait en laissant entendre que la solution qui semblait la seule possible était celle de la fusion avec l’agglo, utilisant le faux argument de l’obligation, par la loi à venir, pour les intercos de moins de 20 000 habitants de fusionner avec une interco de plus de 20 000 habitants (en fait le projet prévoit que les intercos devront à terme regrouper au minimum 20 000 habitants, ce qui n’est pas pareil et ce qui est contesté par nombre d’élus, notamment ruraux, au niveau national).

Le 06 septembre, la même presse relate le positionnement commun de l’élu de droite Bouix et de l’élu PS de Cendras, Kamel Belkacemi ; les deux expriment leur choix pour la fusion avec l’agglo en concluant : « qu’est-ce qu’on attend pour être heureux?»!

Ajoutant à cela que des membres du personnel du Pays Grand’Combien ont été informés cet été de la future fusion avec l’agglo par le président du Pays Grand’Combien et par des cadres, ceci à l’insu des élus du Pays Grand’Combien. En effet, la question n’avait jusqu’alors jamais été à l’ordre du jour des instances de la communauté et donc aucune stratégie n’avait été ni proposée et à fortiori ni retenue.

C’est seulement au bureau du 09 septembre que la question a été abordée par le Président qui a annoncé qu’en tant que Maire de La Grand’Combe il allait faire voter à son conseil du 16 septembre la demande au Préfet du Gard d’étudier le rapprochement Pays Grand’Combien-Agglo. (demande en effet votée à l’unanimité du Conseil Grand’Combien le 16 septembre).

Une telle démarche, sur un sujet aussi important, relève plus d’un oukase que d’une démarche démocratique et fait montre d’un mépris certain à l’égard des élus intercommunaux.

En tous cas les élus de la majorité que nous sommes, à Cendras, même s’ils admettent bien évidemment que toutes les options sont à discuter, n’apprécient pas du tout la façon dont les choses s’engagent et le disent.

Mais au-delà de la forme, et au-delà du choix Alès ou pas Alès que l’on sera amené à faire en son temps, et si possible démocratiquement, en informant la population sur les enjeux et en la consultant, la question première qu’il s’agit de se poser n’est-elle pas celle du sens et des conséquences prévisibles de la réforme en cours ; et l’action première qu’il convient de mener n’est-elle pas le combat pour remettre en cause ou tout au moins amender ce projet ?

Qu’en est-il réellement et succinctement ?

Le projet prévoit de faire grossir les régions et de mettre en place des métropoles, lesquelles métropoles et régions perdraient la clause de compétence générale et se répartiraient les compétences des départements appelés à disparaître en 2020 ; aux métropoles échoiraient l’essentiel des compétences des communes qui deviendraient des coquilles vides, sans compétences essentielles et sans moyens.

Ainsi ce sont les services publics de proximité et la démocratie de proximité qui disparaitraient avec la suppression des départements, « l’effacement » des communes et la liquidation des syndicats intercommunaux.

Si l’on reprend l’exemple du Pays Grand’Combien qui rejoint l’agglo, ce n’est pas l’agglo qu’il va rejoindre, mais le pôle métropolitain Alès-Nîmes et bientôt, semble-t-il, la métropole d’Alès à Sète avec Montpellier pour chef-lieu. Dans cette configuration, le département disparait, c’est sûr, et que restera-t-il aux communes, sachant que déjà le champ des compétences de l’agglo (champ élargi lors du dernier conseil d’agglo) est celui-ci : économie, urbanisme, logement, politique de la ville, voirie, environnement, ordures ménagères, équipements culturels, équipements sportifs, assainissement, écoles, périscolaire, écoles de musique, petite enfance, enfance, jeunesse, restauration scolaire, tourisme, restructuration urbaine, éclairage public, numérique, santé publique, système d’information géographique, manifestations artistiques, sécurité publique, risques majeurs (cf délibération N°8 du conseil d’agglo du 25 septembre 2014).

Il restera aux communes l’état civil, le CCAS et la gestion des cimetières !

Ainsi, on le voit bien, ce qui est en jeu avec cette réforme c’est la casse du système politico administratif mis en place à la Révolution, et par la même la casse d’une bonne part du système démocratique de notre pays avec la fin de la démocratie de proximité et la mise en place de nouvelles féodalités.

L’urgence n’est donc pas le choix agglo ou pas agglo, l’urgence c’est de combattre ce projet de loi. D’ailleurs il est à remarquer que Patrick Malavieille lui-même, tout comme Claude Cerpédes, ex candidat aux sénatoriales et soutien actif au projet de fusion avec l’agglo, considèrent ce projet de réforme comme mauvais et dangereux. Contradiction, double langage ? Claude Cerpédes vient même de voter, en tant que Vice-Président de l’agglo, l’extension des compétences de l’agglo à l’urbanisme et aux affaires scolaires tout en déclarant être contre ; comprenne qui pourra !

Alors, l’argument massu c’est : on n’a plus les moyens, on n’a pas le choix. C’est une vraie question car effectivement la crise (pas pour les actionnaires) et la fameuse dette permettent aux gouvernements successifs d’imposer l’austérité aux collectivités et de remettre en cause les services publics en ratatinant la dépense publique ; ceci pour mieux servir les intérêts des insatiables actionnaires. Il est donc vrai qu’il est de plus en plus difficile de gérer les collectivités, mais accepter la réforme telle qu’elle nous est présentée, c’est liquider la démocratie de proximité et les services publics de proximité, leurs personnels et leur statut, c’est faire place nette à la privatisation et à la finance. Vivendi, Eiffage et autre Véolia n’attendent que cela.

Le Président du Pays Grand’Combien dénonce le projet de réforme mais propose de l’appliquer avant qu’elle ne soit débattue et votée !

Messieurs Bouix et Belkacemi lui emboitent le pas, déclarant : Qu’est-ce qu’on attend pour être heureux ?

Nous, élus Cendrasiens, disons : face à un projet aux conséquences si graves, qu’est-ce qu’on attend pour se battre ?

En conclusion, sachant bien qu’on va continuer à essayer de nous faire passer pour des ringards et des passéistes un peu isolés et jusqu’au boutistes, nous répondons :

- d’une part que nous ne refusons pas une réforme devant répondre aux évolutions sociétales évidentes, mais nous refusons qu’au nom de cela on liquide un système solidaire et démocratique au seul profit de la finance. Réforme, modernité et efficacité peuvent se conjuguer avec solidarité et démocratie.

-d’autre part qu’il semblerait qu’il y ait beaucoup plus de monde qu’on le dit qui seraient de notre avis mais à qui on ne donne pas beaucoup la parole ; nous voulons parler de l’association des élus communistes et républicains et plus généralement du front de gauche ; mais aussi de l’association des maires ruraux qui regroupe plus de 10 000 Maires en France ; mais aussi des ¾ des citoyens français, excusez du peu, qui régulièrement expriment dans les sondages et enquêtes d’opinion leur attachement à la commune, à la démocratie de proximité qu’elle porte, au service public de proximité qu’elle organise.

Tout ceci nous permet de penser que non, cette mauvaise réforme n’est pas inéluctable, et nous allons continuer à la dénoncer et à proposer autre chose.

 

Inondations: ce qu'il faut faire maintenant

La commune de Cendras a été pas mal sinistrée lors de l’épisode cévenol de samedi dernier : dégâts sur la voirie, les réseaux, les pistes DFCI ; beaucoup de dégâts aussi chez les particuliers avec des appartements et des caves inondés, des véhicules détruits, et des murs effondrés, etc….

Fort heureusement il n’y a pas eu de dégâts corporels.

De l’aube à la nuit, un gros travail a été effectué samedi pour parer au plus pressé. La municipalité remercie pour leur engagement important et efficace l’équipe du personnel communal, les techniciens des routes du conseil général, le salarié d’astreinte du syndicat de l’eau grâce auxquels on a pu rétablir l’eau potable et la circulation pour la presque totalité des habitants. Elle remercie aussi le conseiller général Jean-Michel SUAU pour son appui via les services sociaux du département, le secours populaire et la société Néolia pour un relogement d’urgence, ainsi que tous ceux qui sont venus en aide a des voisins en difficulté ou a des automobilistes en péril durant la nuit.

Le travail continue, la municipalité a demandé dès le lundi matin la reconnaissance par l’Etat de l’état de catastrophe naturelle.

A ce propos, il est signalé aux habitants qui ont eu des dégâts de venir en faire la déclaration en mairie dans les dix jours (descriptif sur papier libre et si possible photos à l’appui) ; ils doivent aussi le déclarer à leur assureur. De plus, il convient de contacter la mairie pour ceux qui ont besoins de rencontrer une assistante sociale (Tel mairie : 04.66.30.40.72)